Pucelle au bûcher à Orléans
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Le siège anglais de mon ancienne vie est enfin levé ; la routine et l’ennui ont été boutés hors de mes terres. Cette pucelle libérée, cette femme d’expérience qui a troqué son étendard contre celui du désir, cherche désormais le plus valeureux des soldats pour une nouvelle croisade. J’ai établi mon campement ici même, sur les terres saintes d’Orléans, et je suis prête pour la prochaine bataille.
Je suis une guerrière sainte à l’armure séduisante et féminine. Une femme trans non-opérée et mon arme secrète n’est pas celle que l’on croit. L’épée que je porte à la ceinture est bien celle d’un homme, puissante et prête à adouber mon futur chevalier. Que tu sois partant pour une escarmouche rapide le temps d’un plan cul pour tester ta bravoure, pour une campagne militaire régulière dans le cadre d’une relation sans prise de tête où l’on avance au feeling, ou pour devenir mon unique chevalier servant pour un engagement sérieux, ma tente est prête à t’accueillir.
Je n’enrôle pas les paysans effrayés ni les déserteurs. Je cherche le guerrier noble, le combattant au regard de feu. Peu importe que tu aies l’armure d’un culturiste ou la silhouette élancée d’un archer, c’est ton âme de combattant, ton assurance de chef de guerre qui me fera plier le genou. Un tel héros doit bien vouloir livrer bataille quelque part à Orléans.
Mon fantasme absolu est celui du bûcher. Après la victoire, m’agenouiller à tes pieds comme au pied de mon propre bûcher, ma bouche prête à accueillir ton feu purificateur. Je veux sentir ta main impérieuse sur ma nuque, me maintenant en place comme un ordre divin, alors que les flammes de la passion montent. Je veux sentir ton corps se raidir, entendre ton cri de guerre rauque juste avant que tu ne libères ton jet final, ce feu blanc et brûlant qui inondera ma gorge et me consumera, scellant notre légende dans les chroniques secrètes d’Orléans.
Questions/Réponses
Je n’ai jamais participé à ce genre de bataille, j’ai peur de déserter…
N’aie aucune crainte. Ton rôle est d’être le soldat courageux, le mien est d’être la stratège. Montre-moi ton désir et je te guiderai sur le champ de bataille jusqu’à une victoire orgasmique pour nous deux.
C’est toujours toi qui mènes l’armée, ou le soldat peut prendre le commandement ?
Mon plus grand plaisir est de mener mes troupes à la victoire et de voir mon chevalier succomber. Mais si mon soldat se révèle être un roi, un conquérant qui réussit à me capturer et à me faire rendre les armes… je découvrirais peut-être que la plus grande des victoires est une totale défaite.
Quel est le cri de guerre pour attirer ton attention ?
Les « à l’assaut » chuchotés de loin me laissent de glace. Sois un général qui donne un ordre. Un message comme « Pucelle, prépare tes troupes. La bataille est pour ce soir, dans tes quartiers. » est un commandement qui déclenchera la mobilisation immédiate.
