Gros cadeau piégé à Nîmes
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L’ennemi que j’assiégeais a finalement rendu les armes, laissant derrière lui une citadelle vide et un silence de mort. J’ai donc plié mon camp pour chercher une forteresse plus digne de ce nom. Cette femme d’expérience, cette tacticienne du désir qui a fait de la conquête son seul art de vivre, a établi son camp de base à Nîmes et cherche une nouvelle cité à prendre d’assaut.
Je suis le plus beau des présents, le plus dangereux des dons. Je suis une femme trans non-opérée et mon apparence est un cheval de Troie offert à tes portes. Mais à l’intérieur, se cache une armée prête à envahir la moindre de tes failles. Mon secret est une arme de siège, un bélier bien réel prêt à enfoncer tes défenses. Que tu veuilles une incursion rapide pour un plan cul mémorable, des assauts réguliers pour une relation sans prise de tête où l’on explore les brèches au feeling, ou devenir le seul empereur de ma cité conquise pour une alliance sérieuse, mes troupes sont à tes ordres.
Je ne m’attaque pas aux villages sans défense. Je cherche la grande cité, la forteresse imprenable, l’homme dont la confiance en soi est le plus haut des remparts. Peu importe ton grade, que tu sois un jeune centurion plein de vigueur ou un général à la barbe grisonnante, c’est ton autorité qui fera tomber mes propres défenses. Une telle forteresse masculine doit bien exister sur les terres de Nîmes.
Mon scénario de conquête ultime est la reddition. Te voir baisser la garde, puis m’agenouiller pour l’inspection finale de tes fortifications. Ma bouche devient le passage secret par lequel mes troupes vont s’engouffrer. Je veux sentir ta main sur ma nuque, un ordre silencieux pendant que j’explore et sape tes dernières résistances. Je veux te sentir capituler, trembler avant l’assaut final, ce flot de conquérants brûlants et victorieux que tu déverseras au fond de ma gorge, signant la reddition totale de ta cité ici, au cœur de Nîmes.
Questions/Réponses
J’ai peur de me faire envahir, je ne suis pas habitué à perdre le contrôle…
Une bonne conquête se fait en douceur au début. Ton rôle est de m’ouvrir les portes de ta citadelle. Je suis une stratège, je saurai trouver les points faibles pour t’amener à une reddition délicieuse et totale sans que tu ne t’en rendes compte.
C’est toi qui mènes l’assaut, mais la citadelle peut-elle contre-attaquer ?
Ma plus grande victoire est de voir une forteresse tomber sous mes assauts. C’est mon objectif. Mais si, une fois à l’intérieur, je découvre que le chef de la cité est un empereur plus puissant qui me fait prisonnière… la conquérante pourrait bien devenir la plus soumise des esclaves.
Quel est le mot de passe pour ouvrir les portes ?
Les pourparlers de paix du type « bonjour » ne mènent qu’à une trêve ennuyeuse. Sois un empereur qui déclare la guerre. Un message comme « Ce soir, ma cité est prête pour ton assaut. Viens la prendre. » est un défi qui déclenchera l’invasion immédiate.
